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Quand est-ce que le monde changera ? Parfait ? Jamais. Dégradé ? A Jamais...

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rev0lutiiion-air

Description :

Nous sommes, nous les humains, des animaux, eh oui.






Nous avons certe une intelligence plus développée que celle des autres animaux,






Mais nous avons la connerie de bousillés des êtres vivants comme nous, les animaux !!!






Quesqui est mieux entre, être intelligemment faible et être con ?















J'aimerais changé le monde à ma façon, non pas brutalement, mais philosophiquement, avec de beaux discours....

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Je ne suis qu'un vulgaire être humain




Qui se demande ce qu'il fait dans ce monde...









Sacha , né 25ans et 11mois après Mai 68








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#Posté le dimanche 28 septembre 2008 10:55

Modifié le jeudi 27 novembre 2008 12:06

Be or not to be , that is the question ...

Etre ou ne pas être, telle est la question .
Shakespeare



La philosophie permet de comprendre le comportement humain ... par la philosophie ont peux changer le monde .







Vous y comprenez quoi à cette phrase ...

L'homme parfait n'existe point , car l'homme parfait ne ferait rien .
phrase inventé par moi-même


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#Posté le dimanche 28 septembre 2008 16:04

Modifié le mercredi 29 octobre 2008 13:16

Elle est pitoyablement hypocrite...

Saviez vous qu'en France...






Si l'on brulait un drapeau français en publique ou si l'on couvrait la marseillaise de sifflement , nous devrions payé une somme de 7500¤ et être passible d'une peine de 6 mois de prison , ça en devient pitoyable , on se croirait sous un régime d'extrème droite !


Et encore , vous ne savez pas tout , les professeurs n'ont pas le droit de parlé de politique dans les établissements scolaires , mais nous apprenons la marseillaise , c'est de l'hypocrisie complète .






On dit des Etats-Unis , mais il faut regarder notre pays avant de critiqué ceux des autres !




La peine de mort ne sera plus interdite si on continue comme celà... on va droit dedans !
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#Posté le jeudi 09 octobre 2008 12:29

Modifié le mercredi 15 octobre 2008 15:26

Pourquoi ?

Vous ne vous êtes jamais demandé pourquoi ...



1 + 2 = 3


Pourquoi ce monde est fait ainsi ? Pourquoi nous sommes fait de cette façon ? Pourquoi "pourquoi" s'écrit comme celà ? Pourquoi ne pourrions nous pas tout réinventé ? Pourquoi tous le monde n'a pas les mêmes idées ? Pourquoi ne parlons nous pas tous la même langue ? Pourquoi nous nous posons des questions ? Pourquoi ? Pourquoi , pourquoi , pourquoi ...


Peut-être que si le monde était carré , si nous avions deux têtes , si "pourquoi" s'écrivait "ni" , si nous réinventions tout , si tous le monde réfléchissait indifférement , si tous le monde parlait une seule et unique langue , si personne ne se posait de question et effectuait ce qu'il avait à faire comme un robot , si , si , si ... le monde serait peut-être plus beau .

Avec des "si" on pourrait mettre Paris en bouteille , et avec des "pourquoi" Paris ne serait plus Paris...



La seule chose que je sais, c'est que je ne sais rien.
Socrate



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#Posté le samedi 11 octobre 2008 05:46

Modifié le samedi 11 octobre 2008 07:36

Le passé ressemble au présent étrangement...

Je vais vous compter une histoire...






Pauvre Petit Garçon !



Comme d'habitude , Mme X emmena son petit garçon, cinq ans, au jardin public, au bord du fleuve. Il était environ trois heures. La saison n'était ni belle ni mauvaise, le soleil jouait à cache-cache et le vent soufflait de temps à autre, porté par le fleuve.
On ne pouvait pas dire non plus de cet enfant qu'il était beau, au contraire, il était plutôt pitoyable même, maigrichon, souffreteux, blafard, tout petit, au point que ses camarades de jeu, pour se moquer de lui, l'appelaient Nain. Mais d'habitude les enfants à la taille minime ont en compensation une vivacité phénoménale qui laisse les grands dadais bouche bée. Ce n'était pas le cas de Nico; il avait une lenteur à toute épreuve que même un escargot le dépasserait.
Ce jour-là le bambin surnommé Nain avait un fusil tout neuf qui tirait même de petites cartouches, inoffensives bien sûr, mais c'était quand même un fusil ! Il ne se mit pas à jouer avec les autres enfants car d'ordinaire ils le tracassaient, alors il préférait rester tout seul dans son coin, même sans jouer. Parce que les animaux qui ignorent la souffrance de la solitude sont capables de s'amuser tout seuls, mais l'homme au contraire n'y arrive pas et s'il tente de le faire, bien vite une angoisse encore plus forte s'empare de lui.
Pourtant quand les autres gamins passaient devant lui Nico épaulait son fusil et faisait semblant de tirer, mais sans animosité, c'était plutôt une invitation, comme s'il avait voulu leur dire :
« Tiens, tu vois, moi aussi aujourd'hui j'ai un fusil. Pourquoi est-ce que vous ne me demanderez pas de jouer avec vous ? »
Les autres enfants éparpillés dans l'allée remarquèrent bien le nouveau fusil de Nico. C'était un jouet de quatre sous mais il était flambant neuf et puis il était différent des leurs et cela suffisait pour susciter leur curiosité et leur envie. L'un d'eux dit :
« Hé ! Vous autres ! Vous avez vu le Nain, le fusil qu'il a aujourd'hui ? »
Un autre dit :
« La Nain a apporté son fusil seulement pour nous le faire voir et nous faire bisquer mais il ne jouera pas avec nous. D'ailleurs il ne sait même pas jouer tout seul. Le Nain est un cochon. Et puis son fusil, c'est de la camelote !
- Il ne joue pas parce qu'il a peur de nous », dit un troisième.
Et celui qui avait parlé avant :
« Peut-être, mais n'empêche que c'est un dégoûtant ! »

Mme X était assise sur un banc, occupée à tricoter, et le soleil la nimbait d'un halo. Son petit garçon était assis, bêtement désoeuvré, à côté d'elle, il n'osait pas se risquer dans l'allée avec son fusil et il le manipulait avec maladresse. Il était environ trois heures et dans les arbres de nombreux oiseaux inconnus faisaient un tapage invraisemblable, signe peut-être que le crépuscule approchait.
« Allons, Nico, va jouer, l'encourageait Mme X, sans lever les yeux de son travail.
- Jouer avec qui ?
- Mais avec les autres petits garçons, voyons ! Vous êtes tous amis, non ?
- Non, on n'est pas amis, disait Nico. Quand je vais jouer ils se moquent de moi.
- Tu dis cela parce qu'ils t'appellent Nain ?
- Je veux pas qu'ils m'appellent Nain !
- Pourtant moi je trouve que c'est un joli nom. A ta place, je ne me fâcherais pas pour si peu. »
Mais lui, obstiné :
« Je veux pas qu'on m'appelle Nain ! »
Les autres enfants jouaient habituellement à la guerre et ce jour-là aussi. Nico avait tenté une fois de se joindre à eux, mais aussitôt ils l'avaient appelé Nain et s'étaient mis à rire. Ils étaient presque tous blonds, châtains, lui au contraire était brun, avec les cheveux qui frisaient un peu. Les autres avaient de bonnes grosses jambes, lui au contraire avait de vraies petites flûtes maigres et grêles. Les autres couraient et sautaient comme des lapins, lui, avec sa meilleure volonté, ne réussissait pas à les suivre. Ils avaient des fusils, des sabres, des frondes, des arcs, des sarbacanes, des casques. Le fils Chirac avait même une cuirasse brillante comme celle des hussards. Les autres, qui avaient pourtant le même âge que lui, connaissaient une quantité de gros mots très énergiques et il n'osait pas les répéter. Ils étaient fort et lui si faible.
Mais cette fois lui aussi était venu avec un fusil.
C'est alors qu'après avoir tenu conciliabule les autres garçons s'approchèrent :
« Tu as un beau fusil, dit Jacques, le fils Chirac. Fais voir. »
Nico sans le lâcher laissa l'autre l'examiner.
« Pas mal. », reconnut Jacques avec l'autorité d'un expert.
Il portait en bandoulière une carabine à air comprimé qui coûtait au moins vingt fois plus que le fusil. Nico en fut très flatté.
« Avec ce fusil, toi aussi tu peux faire la guerre, dit Jean-Pierre en baissant les paupières avec condescendance.
- Mais oui, avec ce fusil, tu peux être capitaine », dit un troisième.
Et Nico les regardait émerveillé. Ils ne l'avaient pas encore appelé Nain. Il commença à s'enhardir.
Alors ils lui expliquèrent comment ils allaient faire la guerre ce jour-là. Il y avait l'armée du général Jacques qui occuperait la montagne et il y avait l'armée du général Jean-Pierre qui tenterait de forcer le passage. Les montagnes étaient en réalité deux talus herbeux recouverts de buissons; et le passage était constitué par une petite allée en pente. Nico fut affecté à l'armée de Jacques avec le grade de capitaine. Et puis les deux formations se séparèrent, chacune allant préparer en secret ses propres plans de bataille.
Pour la première fois, Nico se vit prendre au sérieux par les autres garçons. Jean-Pierre lui confia une mission de grande responsabilité : il commanderait l'avant-garde. Ils lui donnèrent comme escorte deux bambins à l'air sournois armées de fronde et ils l'expédièrent en tête de l'armée, avec l'ordre de sonder le passage. Jean-Pierre et les autres lui souriaient avec gentillesse. D'une façon presque excessive.
Alors Nico se dirigea vers la petite allée qui descendait en pente rapide. Des deux côtés, les rives herbeuses avec leurs buissons. Il était clair que les ennemis, commandé par Jacques, avaient dû tendre une embuscade en se cachant derrière les arbres. Mais on n'apercevait rien de suspect.
« Hé ! Capitaine Nico, pars immédiatement à l'attaque, les autres n'ont sûrement pas encore eu le temps d'arriver, ordonna Jean-Pierre sur un ton confidentiel. Aussitôt que tu es arrivé en bas, nous accourons et nous y soutenons leur assaut. Mais toi, cours, cours le plus vite que tu peux, on ne sait jamais... »
Nico se retourna pour le regarder. Il remarqua que tant Jean-Pierre que ses autres compagnons d'armes avaient un étrange sourire. Il eut un instant d'hésitation.
« Qu'est-ce qu'il y a ? demanda-t-il.
- Allons, capitaine, à l'attaque ! » intima le général.

Au même moment, de l'autre côté du fleuve invisible, passa une fanfare militaire. Les palpitations émouvantes de la trompette pénétrèrent comme un flot de vie dans le coeur de Nico qui serra fièrement son ridicule petit fusil et se sentit appelé par la gloire.
« A l'attaque, les enfants ! » cria-t-il, comme il n'aurait jamais eu le courage de le faire dans des conditions normales.
Et il se jeta en courant dans la petite allée en pente.
Au même moment un éclat de rire sauvage éclata derrière lui. Mais il n'eut pas le temps de se retourner. Il était déjà lancé et d'un coup il sentit son pied retenu. A dix centimètres du sol, ils avaient tendu une ficelle.
Il s'étala de tout son long par terre, se cognant douloureusement le nez. Le fusil lui échappa des mains. Un tumulte de cris et de coup se mêla aux échos ardents de la fanfare. Il essaya de se relever mais les ennemis débouchèrent des buissons et le bombardèrent de terrifiantes balles d'argiles pétrie avec de l'eau. Un de ces projectiles le frappa en plein sur l'oreille le faisant trébucher de nouveau. Alors ils sautèrent tous sur lui et le piétinèrent. Même Jean-Pierre, son général, même ses compagnons d'armes !
« Tiens ! Attrape, capitaine Nain. »
Enfin il sentit que les autres s'enfuyaient, le son héroïque de la fanfare s'estompait au-delà du fleuve. Secoué par des sanglots désespérés il chercha tout autour de lui son fusil. Il le ramassa. Ce n'était plus qu'un tronçon de métal tordu. Quelqu'un avait fait sauté le canon, il ne pouvait plus servir à rien.

Avec cette douloureuse relique à la main, saignant du nez, les genoux couronnés, couvert de terre de la tête au pieds, il alla retrouver sa maman dans l'allée.
« Mon dieu ! Nico, qu'est-ce que tu as fait ? »
Elle ne lui demandait pas ce que les autres lui avaient fait mais ce qu'il avait fait, lui. Instinctif dépit de la brave ménagère qui voit un vêtement complètement perdu. Mais il y avait aussi l'humiliation de la mère : quel pauvre homme deviendrait ce malheureux bambin ? Quelle misérable destinée l'attendait ? Pourquoi n'avait-elle pas mis au monde , elle aussi, un de ces garçons blonds et robustes qui couraient dans le jardin ? Pourquoi Nico restait-il si rachitique ? Pourquoi était-il toujours si pâle ? Pourquoi était-il si peu sympathique aux autres ? Pourquoi n'avait-il pas de sang dans les veines et se laissait-il toujours mener par les autres et conduire par le bout du nez ? Elle essaya d'imaginer son fils dans quinze, vingt ans. Elle aurait aimé se le représenter en uniforme, à la tête d'un escadron de cavalerie, ou donnant le bras à une superbe jeune fille, ou patron d'une belle boutique, ou officier de marine. Mais elle n'y arrivait pas. Elle le voyait toujours assis un porte-plume à la main, avec de grandes feuilles de papier devant lui, penché sur le banc de l'école, penché sur la table de la maison, penché sur le bureau d'une étude poussiéreuse. Un bureaucrate, un petit homme terne. Il serait toujours un pauvre diable, vaincu par la vie.
« Oh ! Le pauvre petit ! » s'apitoya une jeune femme élégante qui parlait avec Mme X.
Et secouant la tête, elle caressa le visage défait de Nico.
Le garçon leva les yeux, reconnaissant, il essaya de sourire, et une sorte de lumière éclaira un bref instant son visage pâle. Il y avait toute l'amère solitude d'une créature fragile, innocente, humiliée, sans défense; le désir désespéré d'un peu de consolation; un sentiment pur, douloureux et très beau qu'il était impossible de définir. Pendant un instant - et ce fut la dernière fois - il fut un petit garçon duc, tendre et malheureux, qui ne comprenait pas et demandait au monde environnant un peu de bonté.
Mais ce ne fut qu'un instant.
« Allons, Nico vient te changer ! » fit la mère en colère, et elle le traîna énergiquement à la maison.
Alors le bambin se remit à sangloter à coeur fendre, son visage devint subitement laid, un rictus dur lui plissa la bouche.
« Oh ! Ces enfants ! Quelles histoires ils font pour un rien ! S'exclama l'autre dame agacée en les quittant. Allons, au revoir, madame (Je vous laisse devinez le nom de cette dame et donc de celui du petit Nico) »


"Pauvre Petit Garçon" dans le recueil de nouvelle de Dino Buzzati intitulé "Le K". Qui a été un peu modifié par moi-même, je vous invite vivement à lire la vraie version de "Pauvre Petit Garçon", dans "Le K", qui est un très bon livre, certes assez compliqué mais très enrichissant.



Vous remarquerez, le titre colle parfaitement avec le personnage nommé Nico ^^
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#Posté le mercredi 29 octobre 2008 13:31

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